Actualités

4 octobre 2017

MAROC : tournoi international ouvert d’échecs 27-30 oct

MAROC : tournoi international ouvert d'échecs 27-30 oct

L’APEAM (association des parents d’élèves d’André Malraux) et l’association Le Maroc Sportif organisent avec la collaboration du G.S. André Malraux de Rabat (Maroc) et l’ALFM (association des anciens des lycées français du monde) le tournoi international ouvert d’échecs des établissements de l’enseignement français et francophone, du 27 (accueil) au 30 octobre 2017 (départ) à l’école André Malraux, Rabat.

Ce tournoi international prometteur, premier du genre, de grande valeur éducative et sportive, est ouvert aux élèves de l’enseignement français en France et à l’étranger, ainsi qu’aux élèves des pays francophones, il contient 4 compétitions des catégories : maternelle, primaire, collège et lycée (anciens élèves scolarisés en 2016-2017 sont admis), pour l’octroi de titres de l’enseignement français et celui de l’enseignement francophones, par établissements et individuel, garçons et filles, avec un programme de divertissement !
Le règlement est publié sur le site web : www.lemarocsportif.com <http://www.lemarocsportif.com/>
Inscription sur www.chess-results.com <http://www.chess-results.com/> , dernier délai le 20 octobre 2017.
 Pour plus d’information, merci de contacter par GSM ou WhatsApp : +212661542509, ou par mail : lemarocsportif@gmail.com .

26 septembre 2017

Lettre au président de la République

31/7/17 - En tant que fédération rassemblant des associations de parents d’élèves des lycées français à l’étranger, nous sommes inquiets des conséquences engendrées par l’annulation des crédits de paiement portant sur le programme 185.

Lettre au président de la République

En tant que fédération rassemblant les associations de parents d’élèves des lycées français à l’étranger, nous sommes inquiets des conséquences engendrées par l’annulation des crédits de paiement portant sur le programme 185 qui affecte près de 11% de la subvention de l’Agence pour l’enseignement Français à l’Etranger (42 millions sur un budget 374 millions d’euros). L’AEFE qui pilote l’essentiel du réseau des établissements d’enseignement français dans le monde est déjà financée pour l’essentiel (80%) par les frais de scolarité à la charge des familles françaises et étrangères qui fréquentent cet enseignement.

Cette coupe budgétaire qui intervient en milieu d’exercice, pour un établissement administratif dont 70% du budget est affecté à la masse salariale (dont une pension civile incompressible) est un coup de rabot aveugle et violent qui va mécaniquement se reporter sur les frais de scolarité payés par les familles, puisqu’il n’est pas question de ne pas payer les salaires des enseignants ou de limiter les coûts de fonctionnement des établissements en cours d’année.
Ces frais de scolarité ont d’ores et déjà atteint, dans de nombreux établissements, un seuil difficilement soutenable après une baisse continue du budget de l’AEFE les années précédentes. Or toutes les familles du réseau ne sont pas boursières et toutes les familles n’ont pas leurs frais de scolarité payés par des entreprises.

A la lecture des comptes financiers de l’AEFE, on peut croire que celle-ci dispose de réserves de trésorerie importantes. C’est une illusion dans la mesure où tous ces fonds de réserve sont fléchés sur des projets immobiliers engagés ou programmés par les établissements. Ils ont été financés par les frais de scolarité des familles les années antérieures. Qu’allons-nous leur dire ? “Plus de gymnase ou de labos de science. On reconstitue les réserves pour les 5 ans à venir” ?
Cette décision est désolante car les lycées français à l’étranger, dont beaucoup sont gérés par les associations de parents d’élèves, sont dans un délicat exercice pour continuer à attirer des familles étrangères - qui souvent paient plus - dans un contexte éducatif très concurrentiel. Même les familles françaises moyennes et aisées - qui sont celles sur lesquelles portent toujours les efforts - n’hésiteront plus à choisir d’autres systèmes éducatifs performants et des établissements souvent beaucoup mieux équipés que les nôtres.

Cette décision est désolante pour le rayonnement de notre pays dans le monde auquel ces établissements participent en favorisant la mobilité des familles françaises expatriées et en scolarisant les enfants des élites socio-culturelles locales. Chaque établissement est aussi une unité économique où nombre de jeunes compatriotes en mobilité trouvent un emploi.

Cette coupe budgétaire fait suite aux difficultés de détachement d’enseignements titulaires (80 refusés) qui compliquent la capacité des établissements à remplir leur mission et inquiètent les familles françaises de l’étranger. Ce chiffre de 80 enseignants, totalement insignifiant pour l’Education Nationale, est d’une importance capitale pour la qualité pédagogique du réseau. Et du côté des personnels du ministère, nous savons qu’une expérience d’enseignement à l’étranger est une immense plus-value, intellectuelle et humaine. Le réseau constitue une fenêtre, une aspiration pour les enseignants. Nous regrettons que les exigences hexagonales pénalisent ce qui devrait au contraire constituer un élément clé de la politique RH du ministère.

L’enseignement français à l’étranger a été l’un des thèmes dominants de la dernière campagne législative et les Français de l’étranger, qui ont largement plébiscité les élus de la République En Marche, ne comprennent pas l’ampleur de cette sanction pour une Agence chargée de service public et performante, essentielle à la présence de la France dans le Monde, et qui scolarise à moindre coût environ 342 000 élèves dont 125 000 français.
Monsieur Le Président, si nous sommes conscients des contraintes budgétaires qui pèsent sur la France, nous voulons vous alerter sur les conséquences désastreuses de l’ampleur de cette annulation de crédits, pour la qualité de l’enseignement français à l’étranger, notre crédibilité et notre rayonnement. Nous espérons que vous voudrez bien y être sensible.

25 septembre 2017

26 sept. Journée européenne des langues

A l’occasion de la Journée européenne des langues, la FAPEE et les APE membres souhaitent souligner la richesse et la qualité de l’enseignement des langues dans le réseau des Lycées Français à l’étranger.

En tant que parents d’élèves et acteurs dynamiques de nos communautés scolaires plurilingues et multiculturelles à travers le monde, nous encourageons et nous suivons avec attention le développement des stratégies de l’AEFE et de la Mission Laïque Française concernant l’apprentissage des langues dans le réseau.

Trois axes principales que nous estimons essentielles pour un parcours scolaire réussi en langues : un enseignement cohérent dès la maternelle jusqu’en terminale – former et valoriser les enseignants – cultiver la richesse linguistique des classes.

Apprendre les langues c’est apprendre le monde !
Merci à tous les professeurs et à tous les acteurs du réseau de l’enseignement français à l’étranger pour leur engagement !
http://edl.ecml.at/Default.aspx
http://www.education.gouv.fr/cid57914/journee-europeenne-des-langues.html

22 septembre 2017

Elections des représentants de parents aux instances

Pourquoi choisir une APE membre de la FAPEE ?

Chers parents,

De l’importance de voter
Des générations de parents bénévoles, dédiés et dévoués, se sont succédées à l’APE en mettant au service des familles et de l’établissement leurs compétences, leur savoirs-faire et leur temps. Par leur présence dans les conseils, leur engagement sur des actions, des projets, des festivités, ils vous ont représentés, ont défendu vos intérêts et ont sensiblement ajouté aux moyens éducatifs dont bénéficient vos enfants.
Chacune de nos APE est la mémoire vive de ce travail et de cet engagement.

Pourquoi choisir une APE membre de la FAPEE ?
Au delà de leur investissement sur le terrain, nos associations membres se sont fédérées fortement dans un réseau mondial de parents autour des grandes questions : financement, qualité, contenus pédagogiques, gouvernance des établissements, mobilité des élèves, orientation, besoins éducatifs particuliers et école inclusive, langues et ouverture internationale ...

Elles travaillent en réseau et mettent en commun des questionnements, des bonnes pratiques, toujours au service des élèves et de la communauté dans son ensemble.
Elles sont unies pour que la voix des parents soit véritablement prise en compte.

Elles méritent votre reconnaissance, elles méritent votre vote

13 septembre 2017

Deux langues étrangères dès le plus jeune âge

Le cadre stratégique européen Éducation et Formation 2020 souligne la nécessité pour les États membres de l’Union européenne (UE) de promouvoir le plurilinguisme notamment en favorisant l’enseignement, dès le plus jeune âge, d’au moins deux langues étrangères. La quatrième édition du rapport d’Eurydice Chiffres clés de l’enseignement des langues à l’école en Europe (2017) se propose d’offrir un aperçu comparatif des évolutions des systèmes et des pratiques d’enseignement des langues étrangères dans 37 pays européens depuis 2003.
http://www.education.gouv.fr/cid74880/l-apprentissage-des-langues-vivantes-etrangeres-dans-l-union-europeenne-parcours-des-eleves.html

4 septembre 2017

nouvelle circulaire sur les instances

Circulaire 1548 du 20 juillet 2017 : organisation et fonctionnement des instances des établissements d’enseignement français à l’étranger relevant de l’AEFE
http://www.aefe.fr/rechercher-une-r...

25 août 2017

Circulaire sur la scolarisation des élèves en situation de handicap dans un établissement d’enseignement français à l’étranger

circulaire n° 2017-137 du 4-8-2017
http://www.education.gouv.fr/pid285...

23 août 2017

Le lycée français international

Conférence de Jean-Christophe Deberre AG FAPEE 7 juillet 2017

Nous devons comprendre ce que devrait être, dans le contexte mondial, l’enseignement français dans le monde d’ici 10, 20 ans et nous préparer à ce futur.

Le lycée français international
Lycée Français International. Conférence de JC. Deberre AG FAPEE 2017
23 août 2017

Le programme mobilité ADN

Tous les établissements ont reçu le projet de convention et toute l’organisation et les modalités qui concernent ce programme mobilité entre lycéens ADN, géré et piloté par l’AEFE. Il sera mis en place à partir de septembre, sachant que cette première année sera une année d’essai avec quelques établissements pilotes.
Les modalités : Les élèves qui partiront ne payeront que les droits de scolarité dans leur établissement d’affectation initiale. Il y aura des possibilités d’échange entre lycées du réseau, mais aussi avec des lycées français sur l’ensemble du territoire. Dans les conventions seront prévues les questions de responsabilité, d’accueil, d’échange. Tous les établissements auront vocation à envoyer leurs élèves de 2nde dans un premier temps, sur une durée déterminée de 3 ou 6 mois. Une année pourrait être envisageable, soit sur le mode de la concomitance (deux élèves de chaque lycée) soit dans l’alternance. Ce sera au choix des familles, comme cela est précisé dans les conventions.

21 août 2017

Subvention de l’AEFE : une coupe d’une ampleur inadmissible en milieu d’exercice

Lettre au président Macron

Nous avons écrit au Président Macron et saisi le ministre de l’Europe et des Affaires Etrangères ainsi que tous nos élus contre l’annulation massive de crédits de paiements sur le budget de l’AEFE, en cours d’exercice et d’un montant confirmé de 33M€.
Le ministre en réponse s’est voulu rassurant pour 2018 mais nous craignons que cette annulation de crédits ne se traduise au présent par des remontées de fonds de roulement d’ EGD, pourtant fléchées sur l’immobilier ou une contribution exceptionnelle demandée aux conventionnés.

Paris le 31 juillet,

Monsieur Le Président,

En tant que fédération rassemblant les associations de parents d’élèves des lycées français à l’étranger, nous sommes inquiets des conséquences engendrées par l’annulation des crédits de paiement portant sur le programme 185 qui affecte près de 11% de la subvention de l’Agence pour l’enseignement Français à l’Etranger (42 millions sur un budget de 374 millions d’euros). L’AEFE qui pilote l’essentiel du réseau des établissements d’enseignement français dans le monde est déjà financée pour l’essentiel (80%) par les frais de scolarité à la charge des familles françaises et étrangères qui fréquentent cet enseignement.

Cette coupe budgétaire qui intervient en milieu d’exercice, pour un établissement administratif dont 70% du budget est affecté à la masse salariale (dont une pension civile incompressible) est un coup de rabot aveugle et violent qui va mécaniquement se reporter sur les frais de scolarité payés par les familles, puisqu’il n’est pas question de ne pas payer les salaires des enseignants ou de limiter les coûts de fonctionnement des établissements en cours d’année.
Ces frais de scolarité ont d’ores et déjà atteint, dans de nombreux établissements, un seuil difficilement soutenable après une baisse continue du budget de l’AEFE les années précédentes. Or toutes les familles du réseau ne sont pas boursières et toutes les familles n’ont pas leurs frais de scolarité payés par des entreprises.

A la lecture des comptes financiers de l’AEFE, on peut croire que celle-ci dispose de réserves de trésorerie importantes. C’est une illusion dans la mesure où tous ces fonds de réserve sont fléchés sur des projets immobiliers engagés ou programmés par les établissements. Ils ont été financés par les frais de scolarité des familles les années antérieures. Qu’allons-nous leur dire ? “Plus de gymnase ou de labos de science. On reconstitue les réserves pour les 5 ans à venir” ?
Cette décision est désolante car les lycées français à l’étranger, dont beaucoup sont gérés par les associations de parents d’élèves, sont dans un délicat exercice pour continuer à attirer des familles étrangères - qui souvent paient plus - dans un contexte éducatif très concurrentiel. Même les familles françaises moyennes et aisées - qui sont celles sur lesquelles portent toujours les efforts - n’hésiteront plus à choisir d’autres systèmes éducatifs performants et des établissements souvent beaucoup mieux équipés que les nôtres.

Cette décision est désolante pour le rayonnement de notre pays dans le monde auquel ces établissements participent en favorisant la mobilité des familles françaises expatriées et en scolarisant les enfants des élites socio-culturelles locales. Chaque établissement est aussi une unité économique où nombre de jeunes compatriotes en mobilité trouvent un emploi.

Cette coupe budgétaire fait suite aux difficultés de détachement d’enseignements titulaires (80 refusés) qui compliquent la capacité des établissements à remplir leur mission et inquiètent les familles françaises de l’étranger. Ce chiffre de 80 enseignants, totalement insignifiant pour l’Education Nationale, est d’une importance capitale pour la qualité pédagogique du réseau. Et du côté des personnels du ministère, nous savons qu’une expérience d’enseignement à l’étranger est une immense plus-value, intellectuelle et humaine. Le réseau constitue une fenêtre, une aspiration pour les enseignants. Nous regrettons que les exigences hexagonales pénalisent ce qui devrait, au contraire, constituer un élément clé de la politique RH du ministère.

L’enseignement français à l’étranger a été l’un des thèmes dominants de la dernière campagne législative et les Français de l’étranger, qui ont largement plébiscité les élus de la République En Marche, ne comprennent pas l’ampleur de cette sanction pour une Agence chargée de service public et performante, essentielle à la présence de la France dans le Monde, et qui scolarise à moindre coût environ 342 000 élèves dont 125 000 français.
Monsieur Le Président, si nous sommes conscients des contraintes budgétaires qui pèsent sur la France, nous voulons vous alerter sur les conséquences désastreuses de l’ampleur de cette annulation de crédits, pour la qualité de l’enseignement français à l’étranger, notre crédibilité et notre rayonnement. Nous espérons que vous voudrez bien y être sensible.

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