Actualités

9 mars 2021

Aide à la scolarité

Depuis plusieurs années, la Fapee appelle à une véritable réflexion pour analyser et endiguer la diminution du nombre de demandeurs de bourses et souligne l’importance de revenir à une logique sociale plutôt que de se satisfaire d’une logique administrative et comptable. Nous avons pu partager l’ensemble de clés d’évolution qui nous semblent essentielles et espérons que de réels changements seront obtenus.

Aide à la scolarité

La diminution des élèves français dans le réseau, observée depuis 2 ans interroge. La FAPEE remercie l’AEFE de la mise en place de ce groupe de travail essentiel pour prendre le temps de comprendre, d’analyser la situation et de faire évoluer certains critères afin de mieux répondre aux difficultés des familles. Nous avons réaffirmé notre attachement à ce système unique au monde, système complexe qui bénéficie à 21% des élèves français inscrits dans le réseau (64% des bourses sont à 100% et le taux de recevabilité à 84%), et qui doit faire évoluer certains de ses paramètres.
Vous pouvez retrouver toutes nos propositions dans le document ci-dessous, document envoyé à l’ensemble des membres de la CNB et du groupe de travail. Les principaux critères qui doivent selon nous évoluer sont : le plafond immobilier, l’IPPA qui devrait être par ville et non pays, l’épargne mobilière (notamment les plans d’épargne retraite…)… Nous avons également demandé un suivi précis et dans le temps de l’évolution du reste à charge des familles qui nous semble être un indicateur indispensable.

Lire nos propositions 

9 mars 2021

Circulaire sur les instances

La FAPEE se réjouissait de l’ouverture d’une véritable réflexion sur l’évolution essentielle de cette circulaire inadaptée aux spécificités de l’enseignement français à l’étranger. Malheureusement, et malgré nos demandes, seules des modifications à la marge sont prévues.

Circulaire sur les instances

En effet, seules la suppression du Conseil de Groupement de Gestion (instance n’existant qu’au Maroc) et l’addition d’une instance budgétaire stratégique permettant une information financière plus fine des représentants de parents aux instances comme le ministre s’y était engagé à la remise du rapport de la députée Samantha Cazebonne seront pris en compte.
Nous avons apporté nos propositions concernant la composition de cette nouvelle instance et son fonctionnement. Si nous soutenons la création de cette dernière instance, nous regrettons que la gouvernance d’un établissement scolaire, cadrée par cette circulaire, ne puisse faire l’objet d’une réelle réflexion pour en faire un instrument puissant d’évolution et de consolidation de la communauté scolaire. S’il y avait une référence organisationnelle à rechercher en France ce serait celle de l’enseignement privé sous contrat (mission de service public /scolarité payante choisie par les familles) - et non celle des établissements publics locaux.
Nous avons tout de même saisi l’opportunité de ce groupe de travail pour réaffirmer l’importance de faire évoluer cette circulaire et présenter nos propositions et nos regrets sur le fait que l’AEFE refuse d’ouvrir ces discussions.

9 mars 2021

l’Association CFBL Parents lance son Gala 2021 en ligne

Tombola, enchères, menus : tout est prêt et en ligne pour participer et contribuer généreusement à cet événement de fundraising annuel de la communauté du Collège français bilingue de Londres.

l'Association CFBL Parents lance son Gala 2021 en ligne

Tout savoir sur la Gala CFBL
Un très grand merci à l’équipe de parents en charge et tous nos bons voeux de succès !!

1er mars 2021

Evaluation des épreuves de spécialité et épreuves communes de 1ère pour la session 2022

Deux décrets et deux arrêtés publiés au JO du 26 février organisent l’évaluation des épreuves de spécialité et épreuves communes en 2021.

Evaluation des épreuves de spécialité et épreuves communes de 1ère pour la session 2022

Pour les épreuves de spécialité, la note est la note moyenne annuelle de la classe de terminale dans les établissements publics et privés sous contrat. Pour les épreuves communes les notes de première sont la moyenne des notes inscrites dans le livret scolaire.
Lire le décret

20 février 2021

Bac 21 & Crise sanitaire

Suite à la note de service du BO du 11 mars qui confirme que les épreuves terminales de philosophie et le "Grand oral" devront se faire en présentiel, retrouvez ici les 3 hypothèses présentées par la direction pédagogique de l’AEFE pour les établissements de l’EFE lors de notre webinaire sur les examens.

Bac 21 & Crise sanitaire

Les élèves se préparent à passer la première édition du Bac 2021 alors que la situation sanitaire dans chaque pays reste incertaine et que certains établissements sont toujours en enseignement à distance.
La note de service du BO du 11 mars 2021 pose les modalités d’organisation de l’examen du baccalauréat de la session 2021, dans le contexte de l’épidémie de Covid-19. Les épreuves terminales de français en première, de philosophie et l’épreuve orale terminale dite "Grand oral" devront se faire en présentiel. Lire le BO

Lors du webinaire que nous avons organisé avec la DEOF (direction pédagogique de l’AEFE) sur les examens pour tenter d’apporter des réponses aux inquiétudes des parents d’élèves, 3 hypothèses ont été évoquées :

Bien qu’étant fermés, avoir la possibilité, par dérogation spontanée du pays ou bien négocié par le poste, d’accueillir des épreuves. Les chefs d’établissement, en lien direct avec le SCAC et l’ambassadeur (responsable local de l’examen par délégation de l’académie de rattachement), sont en charge de la négociation avec les autorités locales.
• Si cela s’avérait impossible et sachant que le ministère tient - en l’état actuel des choses- aux épreuves ponctuelles terminales, de les renvoyer très rapidement à la session de septembre. Nous connaissons toutes les limites de cette hypothèse pour l’orientation dans l’enseignement supérieur étranger. Le supérieur français connaît le principe de la session de septembre et intègre celle-ci dans ses procédures.
• Contrôle continu pour l’ensemble des épreuves. Si la France est dans cette situation, pas de problème. Par contre, si la France compose en présentiel, ce sera beaucoup plus difficile pour l’EFE. Le ministère tient à un bac unique commun pour tous. Nous défendrons cette solution dans l’impossibilité des 2 hypothèses précédentes.
Lire le compte-rendu

Il apparaît donc nécessaire que, dès à présent, les chefs d’établissement, en lien avec l’ambassade, obtiennent des autorités locales, avec l’assurance de mesures sanitaires renforcées, la possibilité de faire composer les élèves en présentiel. La Fapee reste bien entendu mobilisée sur ce sujet, n’hésitez pas à nous contacter.

1er février 2021

Conseil d’orientation interministériel de l’EFE 29 janvier 2021

M. Jean-Yves Le Drian, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, M. Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports, et M. Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Europe et des affaires étrangères chargé des Français de l’étranger, ont réuni un conseil d’orientation interministériel de l’enseignement français à l’étranger, ce vendredi 29 janvier 2021 en visioconférence.

Conseil d'orientation interministériel de l'EFE 29 janvier 2021

La FAPEE représentait les associations de parents d’élèves à ce conseil d’orientation qui a pour vocation de renforcer le pilotage stratégique de l’EFE en réunissant ses acteurs (administrations, AEFE, MLF, opérateurs privés, organisations syndicales, parlementaires,..).

Face au plan de développement percuté par la crise sanitaire et ses lourdes conséquences économiques sur les familles, cette première réunion a été l’occasion de faire un point sur la situation des 540 établissements du réseau. La FAPEE a rappelé l’effort sans précédent des parents et réitéré leurs demandes d’être associés pleinement aux décisions notamment financières et à la gouvernance stratégique des établissements et de l’AEFE. Lire l’intervention de François Normant

Pour Olivier Brochet (AEFE) et François Perret (MLF), cette année sera celle de la plus grande crise affrontée par le réseau et celui-ci reste dans l’incertitude des effets économiques de long terme. Le soutien financier de l’état a permis d’aider les familles et établissements en difficulté. La qualité de l’EAD a été l’objectif premier pour assurer les apprentissages des élèves et rassurer les familles dont on craignait les contestations sur les frais de scolarité.
Le réseau est résilient mais cette crise est longue, avec des fluctuations incessantes. Ainsi, depuis septembre , progressivement 20, 40 puis aujourd’hui 54% des établissements sont en distanciel. L’attention sur les maternelles est forte car elles sont la condition de l’avenir.
Pour les examens, le dialogue est permanent avec la DGESCO.

La DGESCO a annoncé la rénovation de l’OIB par la création d’un bac français international. Les ministres ont insisté sur le développement de l’enseignement de la langue arabe dans les écoles, qui concerne plus de 150 000 élèves dans le réseau.

Formation des personnels et gestion des ressources humaines
En renforçant la coordination de la gestion des ressources humaines du réseau, le ministère de l’éducation veut favoriser la "pollinisation" entre personnels du réseau (8500) et enseignants en France. La création d’un certificat d’aptitude à l’enseignement français à l’étranger pour les diplômés de master MEEF et les professeurs français doit permettre de constituer un vivier de futurs professeurs à l’étranger. L’AEFE intégrera prochainement le consortium de l’E-INSPE, plateforme de formation en ligne afin de développer une offre de contenus et de parcours spécifiques à l’étranger et de faire bénéficier les professeurs de France des innovations développées dans le réseau. Un séminaire interministériel sera organisé en juin 2021 afin d’aborder la question de la formation avec l’ensemble des partenaires. Les ministres ont rappelé l’importance de la mise en place des instituts régionaux de formation (IRF) à l’étranger.

Financement des projets immobiliers
La loi de finances prévoit un nouveau dispositif pour les établissements conventionnés et partenaires pour obtenir la garantie de l’Etat. L’AEFE a redemandé instamment à avoir la capacité d’emprunter à moyen et long terme pour les EGD.

20 janvier 2021

Webinaire 27 janvier : Bachelor of Science - Ecole Polytechnique

Webinaire 27 janvier : Bachelor of Science - Ecole Polytechnique

L’école Polytechnique organise à notre demande un webinaire d’une heure le 27 janvier à 13h (heure française) sur le Bachelor of Science : présentation du programme Bachelor suivi d’une session de questions-réponses durant laquelle les participants auront l’occasion de poser toutes les questions qu’ils souhaitent au sujet du programme.

Pour vous inscrire : https://ecolepolytechnique.zoom.us/webinar/register/WN_1Bzx-1TnTImYffCy3RsW1w
Vous recevrez le lien pour vous connecter une fois inscrits.

Le Bachelor of Science de l’École polytechnique est un programme en trois ans accessible après le baccalauréat, conçu pour les étudiants passionnés par les mathématiques et les sciences. Ce programme hautement sélectif et pluridisciplinaire est entièrement enseigné en anglais.
La première année est consacrée à l’acquisition des connaissances fondamentales essentielles pour le reste de leurs études, ainsi qu’à l’expérimentation de plusieurs disciplines afin de choisir la bonne spécialisation par la suite. Pour leur deuxième et troisième année, les étudiants doivent ensuite choisir entre trois doubles majeures, ou spécialisations :

  • Mathématiques et Physique
  • Mathématiques et Informatique
  • Mathématiques et Économie

Si vous souhaitez avoir davantage d’informations sur le Bachelor of Science, nous vous invitons à consulter le site internet.

20 janvier 2021

L’échéance de mars impossible à tenir

Vers un bac en contrôle continu

L'échéance de mars impossible à tenir

Des épreuves de spécialité du baccalauréat 2021 doivent se tenir au mois de mars. Face à l’épidémie de coronavirus, trois scénarios sont envisagés par le comité de suivi du baccalauréat a déclaré Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports, qui s’exprimait sur Franceinfo, mardi 19 janvier 2021 : "Soit on le maintient au mois de mars, soit on le reporte au mois de juin, soit on met en place un système de contrôle continu". Pour le ministre, "même si on devait aller vers le contrôle continu, il est très important qu’on ait des jalons sérieux pour nourrir cette note. Donc, il faut que le travail continue comme s’il y avait des épreuves de mars". La décision sera prise "d’ici la fin du mois de janvier", "en fonction de l’évolution de l’épidémie".

Malgré le volontarisme du ministre, il apparait de plus en plus difficile d’envisager la tenue des épreuves des enseignements de spécialité en mars et même en juin. La situation très contrastée en France mais aussi celle des classes terminales des lycées du réseau de l’enseignement français à l’étranger quand certaines régions du monde sont toujours confinées (Liban, Grande Bretagne, Arabie Saoudite...), que l’enseignement n’y est qu’en distanciel et qu’aucun travaux pratiques n’a pu être mis en place - devra être entendue par la mission de pilotage des examens et devra peser dans la décision du ministre attendue d’ici fin janvier.
N’oublions pas aussi que nous sommes dans l’année 0 de la réforme du bac 2021 : le report des épreuves écrites en juin, hypothèse 2 évoquée pour le ministre, ressemblerait furieusement à la lourdeur de l’ancienne version du bac. Il restera cependant à statuer sur le grand oral, élément phare de la réforme.
Dans l’hypothèse retenue du contrôle continu pour les épreuves écrites, les besoins d’une évaluation régulière et objective sont fondamentaux et rappelés fortement par la direction de l’enseignement, de l’orientation et de la formation de l’AEFE, tout comme par la Mission Laïque.
Evidemment, des modalités d’harmonisation des notes seront incontournables. Si le précédent du bac 2020, qui s’est entièrement déroulé en contrôle continu n’a pas porté préjudice aux élèves de l’enseignement français à l’étranger, au vu des mentions obtenues, l’égalité de traitement, la transparence et l’objectivité sont attendues par les élèves et les familles et devront être attestées.

19 janvier 2021

Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation...

une décision sur les modalité des épreuves d’ici la fin de janvier

Jean-Michel Blanquer, ministre de l'Éducation...

Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports, était l’invité du "8h30 franceinfo", mardi 19 janvier 2021.

Sur le maintien des épreuves anticipées du bac décidé fin janvier

Des épreuves de spécialité du baccalauréat 2021 doivent se tenir au mois de mars. Face à l’épidémie de coronavirus, trois scénarios sont envisagés par le comité de suivi du baccalauréat affirme Jean-Michel Blanquer. "Soit on le maintient au mois de mars, soit on le reporte au mois de juin, soit on met en place un système de contrôle continu", détaille-t-il.

Pour le ministre de l’Éducation nationale, "même si on devait aller vers le contrôle continu, il est très important qu’on ait des jalons sérieux pour nourrir cette note. Donc, il faut que le travail continue comme s’il y avait des épreuves de mars". La décision sera prise "d’ici la fin du mois de janvier", "en fonction de l’évolution de l’épidémie", annonce Jean-Michel Blanquer Ecouter

18 janvier 2021

A l’heure des choix, des aides pour les EBEP

A l'heure des choix, des aides pour les EBEP

Alors que Parcours Sup ouvre son portail et que les choix des enseignements de spécialités pour le bac vont devoir se préciser bientôt, les élèves à besoins particuliers et leurs parents se posent de nombreuses questions.

Pour vous aider dans votre réflexion et ouvrir le champ des possibles, nous partageons quelques informations pour obtenir des renseignements sur les établissements d’enseignement supérieur et les EBEP en France.

Tout d’abord les aménagements scolaires ne s’arrêtent après le lycée. Il sera tout à fait possible à l’étudiant de maintenir les adaptations propices aux apprentissages à l’université ou dans une école d’enseignement supérieur. Il faudra bien sur faire quelques démarches auprès de l’établissement qui accueillera l’étudiant mais les aménagements seront mis en place pour un bon déroulement de la scolarité. Vous pouvez consulter les sites du ministère de l’enseignement supérieur et du secrétariat d’état chargé des personnes en situation de handicap.

Pour connaitre les conditions d’accueil et poser toutes les questions relatives à la scolarité de votre futur étudiant, il est important de rentrer en contact avec le référent handicap des divers établissements ou universités que souhaiterait intégrer votre enfant.
La Conférence des Grandes Ecoles a un référent handicap tout comme pratiquement chaque établissement membre de cette association (HEC, l’ESSEC, Agro Paris, Centrale, les IEP, CFJ ou encore le CELSA). Ils sont à votre écoute, répondront à vos questions et sauront vous indiquer les démarches à suivre pour que l’admission et la scolarité de l’étudiant à besoins particuliers se passent dans les meilleures conditions possibles.

Enfin, vous pouvez aussi vous adresser à la FEDEEH, fédération étudiante des étudiants en situation de handicap qui met à votre disposition sur son site de nombreuses informations, et qui pourra vous mettre en relation avec des étudiants déjà admis dans des universités ou écoles supérieures françaises.

Les ressources sont là, il faut vous en emparer !

Corinne Truffier, référente handicap

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