Actualités

4 avril 2018

AEFE Déclaration liminaire de la FAPEE

CA 29 mars 2018

La FAPEE s’associe aux déclarations des syndicats pour contester la fermeture des postes. Nous l’avions déjà affirmé lors du précédent CA de novembre, un taux d’encadrement suffisant par des titulaires de l’EN est indispensable au fonctionnement du réseau et au maintien de la qualité de l’enseignement.
Tout en dénonçant les contraintes budgétaires, nous avions demandé à ce que la réponse soit plus ambitieuse et examine des pistes de réformes plus en profondeur.
La FAPEE prend donc acte de la réforme initiée par le président de la République et souhaite prendre toute sa part à la réflexion le plus tôt possible.

Les mots du président de la République nous interpellent ; il souhaite le développement du réseau notamment en faisant appel au secteur privé.

Qu’entend-on par secteur privé ? près de 40% des établissements sont à gestion parentale, engagement bénévole et sans but lucratif. C’est d’abord sur ce type d’établissements que l’on doit s’appuyer, ils sont l’assurance d’un engagement de continuité du service public et d’un coût limité.

La FAPEE qui représente une majorité des comités de gestion du réseau concentre l’expertise de la gestion de ce type d’établissements et nous revendiquons de pouvoir apporter cette expertise à la réflexion sur la réforme.

xavier Gonon

3 avril 2018

Que se passe t-il aujourd’hui dans le réseau des lycées français à l’étranger ?

Après la ponction de 33M€ de crédits de paiement sur le budget 2017 de l’AEFE et le fracas des mesures correctives annoncées dans la foulée pour trouver une solution palliative non seulement à cette ponction mais aussi au déficit structurel de l’AEFE, l’inquiétude des parents a crû terriblement. Nous étions tous mobilisés dès l’automne 2017 et la FAPEE –et ses APE- ont alerté le gouvernement via des courriers et rencontres au plus haut niveau et une pétition a recueilli plus de 25 000 signatures.

Le président de la République qui a appelé à une réforme de l’AEFE, a voulu rassurer les communautés dans son discours du 20 mars : le budget de l’AEFE sera préservé, les effectifs seront doublés d’ici 2025 et il est réaffirmé que les lycées français sont la colonne vertébrale du rayonnement de la France.

Dans ce cadre, un groupe de travail interministériel a été constitué avec l’Education nationale - qui est revenu fortement dans le jeu - les Affaires Etrangères, l’AEFE et sa tutelle ainsi que la MLF, pour élaborer les premières pistes de réformes. Parallèlement, 2 missions d’inspection sont à l’œuvre pour établir un diagnostic du réseau.

Lors du CA de l’AEFE du 29 mars, le président du conseil d’administration a confirmé que les fédérations de parents d’élèves et les syndicats des personnels seraient bientôt associés à la réflexion bien qu’aucun calendrier ni modalité de participation n’aient encore été définis.

La FAPEE a très clairement exigé de participer à la réflexion au plus tôt, car les parents d’élèves sont les principaux contributeurs et des acteurs majeurs du réseau, que ce soit dans les EGD ou les établissements à gestion parentale.
Voilà ce qui a été officiellement annoncé au conseil d’administration de l’AEFE jeudi 29 mars.

Les parents sont légitimement inquiets et ils l’ont exprimé sur les réseaux sociaux, fortement relayés par des médias qui ont fait le buzz sur des positionnements que le projet de réforme rend aujourd’hui moins pertinents.

Il ne s’agit plus de cristalliser une posture négative mais bien de participer à une réflexion constructive pour donner un nouvel élan au réseau des lycées français à l’étranger

Les associations de parents représentées par la FAPEE sont bien conscientes de ces problématiques, elles sont parties prenantes du réseau de l’enseignement français à l’étranger et veulent être à la table des discussions. Elles ne sont pas de connivence avec le système. En revanche elles veulent être force de proposition dans le cadre d’une réforme nécessaire à la pérennité du réseau.

27 mars 2018

Santiago du Chili : plus de profs français

Olivier Bastet, le président de l’association des parents d’élèves du lycée français de Santiago du Chili : "Nous avons besoins de plus d’enseignants français"
https://www.youtube.com/watch?v=ycPqfzvZ6O0&app=desktop

27 mars 2018

Recrutement des personnels au 21 mars 2018

A la date du 21 mars, les demandes de renouvellement de détachement pour 2018-2021 sont en cours :

  • pour le 1er degré, 474 demandes ont été adressées à l’administration d’origine.
    A ce jour 90 demandes sont encore en attente des arrêtés.

34 refus de détachement ont été reçus lesquels ont fait l’objet de recours de la part des agents.

Suite aux recours, 15 agents ont finalement eu un avis favorables, 2 ont eu un maintien de la décision défavorable. 17 recours sont encore en attente de décision.

  • pour le 2nd degré, 818 demandes ont été adressées à l’administration d’origine La quasi-totalité des arrêtés ont été adressés par le MEN. A ce jour, aucun refus de détachement n’a été enregistré.

A ce jour, sur les 1292 demandes de renouvellement de détachement sollicitées, seuls 2 refus fermes ont été enregistrés, soit 0.15%.
L ’Agence, s’attache à construire un dialogue constant avec le ministère de l’éducation nationale afin d’aborder les problématiques de renouvellement de détachement en amont de la campagne afin de
minimiser l’attente par les personnels, des décisions du MEN. Il est prématuré de tirer des conclusions de la campagne de cette année, celle-ci n’étant pas achevée. Une information sera communiquée au
prochain CA sur ce point.

Demandes de détachement suite au CCPL :
A la date du 21 mars, les nouvelles demandes de détachement pour 2018-2021 n’ont pas toutes été émises suite aux CCPL. A ce jour, 381 demandes ont été adressées aux administrations d’origine. Parmi
celles-ci, 21 demandes concernent des personnels n’ayant pas accompli deux années en qualité de titulaire en France, dont 6 néo-titulaires ex personnel de droit local.
A ce jour, 4 refus de détachement ont été enregistrés

Fermeture de postes :
L’Agence opère un dialogue constant avec les établissements du réseau et plus particulièrement avec les établissements dans lesquels une suppression de postes est envisagée. En effet, ceux-ci sont
sollicités en amont pour présenter l’éventuelle mesure au conseil d’établissement et garantir, dans l’hypothèse où le poste serait occupé par un personnel, que ce dernier ait bien demandé sa réintégration.
Par ailleurs, les décisions de fermeture de poste prennent en compte la globalité de l’environnement de l’établissement, et notamment les possibilités locales de recrutement ainsi que le taux de personnels
titulaires de l’éducation nationale.

26 mars 2018

"Nouvel élan pour l’enseignement français à l’étranger"

C’est un Discours fondateur" qu’a tenu le président Macron devant 300 élèves et étudiants des cinq continents, à l’occasion de la Journée internationale de la Francophonie, afin de présenter sa stratégie internationale pour la langue française et le plurilinguisme. Il a annoncé qu’un "nouvel élan" serait donné aux lycées français à l’étranger ; "les moyens seront maintenus."

"Les moyens seront maintenus"
Les débats sur le budget 2018 de l’AEFE lors du CA de novembre ont bien montré qu’à périmètre constant la subvention de l’Etat à l’AEFE était insuffisante, notamment à cause du différentiel sur les pensions civiles.
Pour atteindre l’équilibre réclamé par Bercy, l’AEFE a engagé une suppression de 500 postes sur 3 ans. Ces postes manquent dans les établissements. Est-ce que c’est à ce niveau que les moyens seront maintenus ? Pour la FAPEE et les familles qu’elle représente, ce n’est pas suffisant.
On parle de moyens financiers ou humains ? de budget ou de nombre de postes ?

Doubler le nombre d’élèves dans les lycées français à l’étranger
Emmanuel Macron a fixé l’objectif de doubler le nombre d’élèves dans les lycées français à l’étranger qui sont, selon lui, la "colonne vertébrale de notre offre d’enseignement à travers le monde." Ils accueillent actuellement près de 350 000 jeunes dans 500 établissements.
« Ce réseau sera consolidé et dynamisé », a indiqué le chef de l’État, afin de répondre à la demande croissante d’enseignement français à l’étranger. Pour cela, il faudra développer, selon lui, les établissements « partenaires », mieux associer le secteur privé et créer des pôles régionaux de formation pour former les nouveaux enseignants, notamment au Mexique ou au Liban. Il faudra aussi accompagner le développement des sections bilingues dans les établissements des pays partenaires.

Associer le secteur privé pour doubler le nombre d’élèves

Nous approuvons cette nouvelle ambition donnée au réseau qui confirme son rôle important dans la politique de la francophonie. Mais qu’entends-t-on par "secteur privé" ?
Aujourd’hui près de 85% des établissements ne sont pas des EGD, et sont soit gérés par les parents d’élèves (comités de gestion des conventionnés et de partenaires) soit par des fondations ou des structures à but plus commercial.
La plus grande part du réseau fonctionne déjà sur un mode de partenariat public - privé (ou associatif)
Nous souhaitons que le développement du réseau se fasse d’abord par l’appui à cet engagement bénévole de parents d’élèves dans les établissements conventionnés ou partenaires.
Ces établissements à gestion parentale savent déjà trouver les ressources financières pour faire face aux investissements et assurer la rentabilité de leurs établissements tout en préservant des frais de scolarité accessibles. Il est, par contre, nécessaire de redéfinir clairement le type de partenariat de ces comités de gestion avec l’AEFE, les périmètres de compétences et les obligations de chacun.

"Dans le domaine de l’enseignement supérieur, je souhaite que nos établissements osent s’implanter en dehors de nos frontières. Il s’agit de doubler le nombre d’élèves en 2022. Nous pouvons réussir ce pari si nous décidons d’investir à nouveau."
"Je souhaite qu’il y ait dix ouvertures par an d’alliances françaises. Nous en avons rouvert une récemment en Tunisie, je m’en félicite. Je souhaite que les crédits alloués à ces institutions soient sanctuarisés."

Le président de la République a évoqué l’enjeu de l’usage de la langue française.
"Nous devons faire du français une langue majeure d’échange, de communication..."il faut aussi ramener ceux qui parlent anglais à la langue française. Il y a une francophonie économique qu’il nous faut réembrasser, dont il faut retrouver la vigueur’, et notamment sur Internet, évoquant sur les réseaux sociaux "un combat à la fois politique et culturel".
" Nous encouragerons les universités du monde francophone à développer des cours en ligne numériques ; un déploiement massif du réseau social des professeurs de français en visant 175 pays. Nous mettrons en place le premier incubateur dédié à l’apprentissage de la langue.
(...)

"Nous ne relèverons ce défi que si nous arrivons à faire lever une génération de militants et de héros : les professeurs de français. A chaque fois que nous avons décidé de fermer une classe ou de se priver d’un professeur, la langue française a reculé. Le professeur de français est le garant et le moteur de la vitalité de la langue française."

"Je souhaite qu’en Europe soit enseignées deux langues en plus de la langue maternelle. L’anglais n’est pas la seule langue qui a vocation d’être parlée par les Européens. Les entreprises doivent prendre leur responsabilité."

Extraits du discours

26 mars 2018

Pas de réforme sans les parents d’élèves

Les parents d’élèves ne sont pas seulement les contributeurs financiers principaux du réseau (60% et + des ressources de l’AEFE), mais également des acteurs de terrain dans les établissements et des personnes réfléchies.
Depuis l’annonce de la ponction budgétaire et des mesures correctives de juillet dernier, nous avons écrit et rencontré les sénateurs et députés des Français de l’étranger, les administrations de tutelle, les conseillers des ministres. Nous avons écrit au président de la République et la pétition majeure de notre APE d’Hanoi relayée par toutes les APE, amis et soutiens, a fait le tour du monde en 10 jours et recueilli 25 000 signatures !

Il est donc essentiel que cette réforme soit élaborée avec les représentants des parents d’élèves qui sont les partenaires actifs et engagés de l’AEFE dans les établissements.
https://www.facebook.com/permalink....

26 mars 2018

Bon anniversaire au lycée de Singapour !

Bon anniversaire au lycée de Singapour !

Le lycée français de Singapour a fêté joyeusement le weekend dernier son cinquantième anniversaire. C’est une très belle réussite, éducative et humaine avec des équipes performantes et des partenaires et parents magnifiquement dédiés !

En chiffres :

  • 2 campus et 3 écoles répartis sur 54 000m²
  • Près de 2 800 élèves représentant 60 nationalités
  • 100% de réussite au Bac en 2017 dont 90% de mentions
  • Plus de 60 activités extra-scolaires par semaine, près de 2 000 élèves inscrits sur l’année
  • Plus d’1 événement par jour et près de 30 visites de personnalités par an
  • Plus de 20 voyages scolaires organisés par an
  • 380 employés dont 71% de femmes
  • Près de 110 bus Woodlands qui amènent chaque jour les élèves en classe
  • Plus de 2 200 repas servis par jour par Sodexo

Sur la gouvernance : https://lfs.edu.sg/etablissement/la-gouvernance/le-mot-du-president

25 mars 2018

Parcoursup : L’AEFE gère la plateforme pour les établissements du réseau

L’administration de la plateforme Parcoursup pour l’AEFE est assurée par le SORES. Dans ce cadre, le service a en charge le suivi des établissements du réseau et les accompagne pour l’ouverture et la gestion de cette plateforme. Le service répond aux questions des établissements, des élèves et de leurs familles via la messagerie de la plateforme. A la date du 19 mars, le service avait traité 1475 questions de candidats et 300 questions d’établissement sur la plateforme et répondu à un nombre sensiblement équivalent de questions envoyées par e-mails directement auprès du service et des conseillers.
Il a été décidé par le ministère que le numéro vert ne serait pas mis en place pour les établissements du réseau. Le SORES répond aux questions que les candidats adressent directement sur la plateforme Parcoursup via l’onglet « contact ».
Pour rappel, dans le cadre de la convention signée entre l’ONISEP et l’AEFE, un accès spécifique au service Mon Orientation en ligne (www.monorientationenligne.fr) a été développé. Il permet, par le biais d’une plateforme multimédia de répondre par téléphone, par courrier électronique et par conversation en
ligne (tchat) aux questions posées par les jeunes et leurs familles sur l’orientation.

22 mars 2018

L’AEFE : "On avance"

L’établissement public travaille avec ses tutelles, les ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères et de l’Education nationale à la réforme commandée par le président de la République et livrable à l’été.
C’est ce qui nous a été annoncé, notamment à l’assemblée des Français de l’étranger.
Parmi les missions de l’AEFE, la scolarisation des enfants français et la scolarisation d’enfants étrangers favorisant notre influence culturelle, sont des acquis qui ne seront pas remis en cause, tout comme la mixité sociale, grâce à l’aide à la scolarité..

Un des axes prioritaires de réflexion porte sur l’attractivité de notre système d’éducation dans un contexte très concurrentiel. Depuis le temps que la FAPEE l’évoque, nous sommes contents que l’administration réponde à la demande forte d’internationalisation exprimée par les familles. Ainsi, deux missions ont été lancées par le ministère de l’éducation nationale : une sur l’enseignement des langues dans l’EFE et l’autre sur la formation des formateurs pour répondre au défi de la formation et de la certification des personnels recrutés locaux. La mise en place de formations universitaires spécifiques au Maroc et au Liban, la création d’un ESPE (école du professorat) numérique et la transformation des 16 établissements mutualisateurs en « établissements de formation » à partir desquels opèrent les EMCP2 (personnels enseignants à mission de formation sur zone) sont autant de réponses proposées. Pour la demande d’internationalisation de l’enseignement français, la réforme du bac et sa transposition dans l’enseignement français à l’étranger permet opportunément de penser l’offre d’enseignement et notamment en langue, et la diversité des parcours. Ainsi, le très nouveau dispositif PARLE (Parcours adaptés et renforcés en langue étrangère) validé par la direction de la DGESCO qui permet d’enseigner jusqu’à 40% du programme en anglais et sur lequel nous attendons plus d’éclaircissements.

Réajustement sur le plan budgétaire et carte des emplois
Le retour à l’équilibre budgétaire des services centraux a conduit à de lourdes mesures d’économie, largement dénoncées par les parents, dont la suppression des postes (180/an sur 3 ans), l’augmentation de la participation financière complémentaire (de 6 à 9% des montants des écolages) et la diminution des subventions aux établissements.
Le secrétaire d’Etat, Jean-Baptiste Lemoyne, a cependant dit, devant l’assemblée des Français de l’étranger jeudi dernier, que la "logique du rabot sur les postes avait une limite". On attend de voir laquelle, d’autant que le redéploiement des postes de résidents de l’Europe reste d’actualité, dans une logique de plafond d’emploi public pour l’AEFE et de pénurie d’enseignants dans les académies en France .

La diversification des sources de financement : C’est le deuxième étage de la fusée AEFE. Le développement du réseau se fera avec des partenaires, associations de parents, investisseurs, et en diversifiant l’offre complémentaire d’éducation (autres établissements francophones, enseignement en français dans les établissements locaux - le label FrancEducation représente 200 établissements et déjà 100.000 élèves-, l’enseignement à distance). L’AEFE et ses consultants développent son offre d’expertise en ingénierie éducative et administrative, notamment par l’aide apportée aux partenaires et investisseurs privés dans l’ouverture d’un établissement ou l’obtention de l’homologation.

Au niveau des projets forts que nous soutenons,

  • La mobilité des lycéens via ADN-AEFE qui organise les échanges d’élèves de seconde pour un trimestre ou une année scolaire entre établissements du réseau et en France :15 établissements pilote en 2017-2018, ouverture maximale à partir de septembre 2018.
  • La plateforme ALFM (Anciens des lycées français dans le monde) lancée en novembre 2017, à but social , convivial et professionnel compte déjà plus 3500 inscrits.

Les annonces faites sont intéressantes. Elles vont dans le bon sens. Mais est-ce là cependant toute la réforme ? Et alors que l’AEFE dit vouloir associer davantage les parents, quand ceux-ci seront-ils enfin consultés ?

22 mars 2018

Point sur l’aide à la scolarité

Bilan de la campagne 2017-2018 : 25 350 boursiers dans les pays du rythme nord et 1 649 boursiers sur le rythme sud pour un total de 105 M€.
Plus de 34% de boursiers à 100% .

Crédits ouverts pour 2018 : 110 M€.
On observe une diminution légère mais réelle du nombre de demandes de bourses. L’augmentation du coût des scolarités freine de plus en plus de familles à revenus médians dont le reste à payer constitue une charge trop importante. Elles se tournent vers le système local (familles binationales).
Le coût moyen d’un boursier est passé de 3 900€ en 2016-17 à 4 064 € en 2017-18.

Dans cette enveloppe globale de 110M€, 300 000€ sont prévus pur la prise en charge des AESH (Accompagnants d’élèves en situation de handicap). Seuls les boursiers ont droit à cette prise en charge mais elle sera de 100% de la rémunération de l’AESH, quelle que soit leur quotité de bourse.

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