Actualités

27 septembre 2022

Programme des conférences et webateliers

Des réunions thématiques viendront compléter ce programme notamment pour nos associations parentales gestionnaires de leurs établissements.

Programme des conférences et webateliers

29 septembre 18h (heure Paris) : Conférence Prévenir l’épuisement parental Nadège Larcher, psychologue et psychothérapeute s’inscrire ici
6 octobre 18h (heure Paris) : Web-atelier Nouveaux élus au conseil d’établissement : comment ça marche ? Pour Participer
12 octobre 18h (heure Paris) : Conférence Orientation : Science-po et écoles de commerce IPESUP S’inscrire ici
13 octobre 13h (heure Paris) : Conférence valorisez les compétences de vie pour aider votre enfant, Michel Develay, professeur des universités S’inscrire ici
19 octobre 18h (heure Paris) : Conférence Orientation : Les filières scientifiques IPESUP S’inscrire ici
20 octobre 18h (heure Paris) : Les maths sans crainte ni pleurs en coordination avec la Mission Laïque Française
7 décembre 18h (heure Paris) : Conférence Orientation : Panorama général de l’enseignement supérieur en coordination avec IPESUP S’inscrire ici
14 décembre 18h (heure Paris) : Conférence discipline positive Mission Laïque
8 décembre 13h (heure Paris) : Web-atelier Bac Français International : retour d’expériences entre APE

27 septembre 2022

La FAPEE, un réseau mondial d’APE

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LA FAPEE TRAVAILLE POUR LES FAMILLES DU RESEAU

  • Représentation des associations de parents d’élèves auprès des partenaires institutionnels : conseils d’administration, groupes de travail et auditions.
  • Conseil, appui et information aux associations et aux familles, assuré par nos administrateurs et le bureau de Paris.
  • Ecole inclusive et commissions EBEP, dossiers suivis par notre référente handicap notamment pour obtenir pour les familles le financement des AESH.
  • Formation et information : édition de guides, newsletter, mise en réseau des APE
La FAPEE, un réseau mondial d'APE

La FAPEE vigilante sur les frais de scolarité

La FAPEE motivée sur les questions pédagogiques et éducatives

La FAPEE défend la place des parents dans la gouvernance des établissements et de l’enseignement français à l’étranger

Texte intégral sous pdf

27 septembre 2022

Prévenir l’épuisement parental !

Conférence de Nadège Larcher, 29 sept. 18h Paris

Prévenir l'épuisement parental !

La FAPEE, en coordination avec ses associations membres, vous invite à une conférence-débat en ligne avec Nadège Larcher, psychologue et psychothérapeute, spécialisée dans le développement de l’enfant et de l’adolescent. Madame Larcher présente les 4 dimensions du burn- out parental et nous donne, dans cette conférence très accessible, drôle et interactive, des pistes concrètes et pragmatiques pour mieux vivre notre rôle de parents, notamment la question du stress et des réponses que l’on peut y apporter.

Responsables APE : vous avez accès ici aux contenus video ainsi qu’à la bibliographie lorsque vous vous connectez au site.

27 septembre 2022

Intervention de la FAPEE au 1er rendez-vous Reflexe-S

A l’invitation de la sénatrice Samantha Cazebonne

Ce premier rendez-vous portait sur les conditions de rentrée et les perspectives pour 2023

Intervention de la FAPEE au 1er rendez-vous Reflexe-S

La FAPEE se félicite du retour à la normale, dans un environnement post-covid, pour la grande majorité des établissements. Toutefois, nous n’oublions pas les établissements toujours confrontés à des niveaux élevés de contraintes sanitaires et ceux qui doivent faire face à des contextes géopolitiques ou économiques critiques.
Nous souhaitons rappeler, en cette rentrée 2022, la contribution majeure de la communauté parentale au fonctionnement de notre réseau. Cette contribution, et nous ne pensons pas ici uniquement à sa composante économique, nous la souhaitons forte et constructive, et nous la défendons particulièrement dans ses dimensions associative et apolitique.
Par-delà les spécificités locales, nous souhaitons relayer maintenant un certain nombre de préoccupations et d’attentes de nos associations adhérentes, représentatives de la diversité géographique et statutaire des établissements. Ces préoccupations et attentes s’agrègent autour de trois équilibres :

  • L’équilibre éducatif ;
  • L’équilibre économique ;
  • L’équilibre de la gouvernance.
    Ces équilibres sont, selon nous, autant d’équations à résoudre et à articuler pour améliorer la santé et l’attractivité du réseau.

Au plan de l’équilibre éducatif, et pédagogique, notre principale préoccupation est celle de la qualité des offres d’enseignement et des services proposés aux élèves.
Nous constatons que les acteurs du réseau se félicitent notamment de la trajectoire de croissance des établissements et des résultats à la hausse des élèves au baccalauréat. Ces critères ne sont évidemment pas suffisants pour prendre la mesure de l’enjeu de la qualité des offres et des services. Les résultats des enquêtes comparatives au niveau international sont utiles pour nous le rappeler.
L’idée n’est pas ici de recenser les axes d’amélioration du système éducatif français (tant en matière pédagogique que de vie de l’élève) mais de souligner que le réseau de l’enseignement français à l’étranger doit être moteur, au moins en tant que terrain d’expérimentation, des évolutions et innovations pédagogiques nécessaires, visant notamment à placer l’élève toujours plus au centre, en s’appuyant sur des personnels au contact d’autres systèmes éducatifs et sur des communautés parentales impliquées. Cela n’est pas toujours le cas dans nos établissements.
Nous ne pourrons pas répondre pleinement à cette exigence de qualité sans prendre en compte les conditions de travail des personnels enseignants et non enseignants, sans adéquation entre les objectifs fixés et les ressources humaines mobilisées. Or, de nombreux établissements doivent composer aujourd’hui avec des pénuries de personnel qualifié, liées à des enjeux de disponibilité au sein de l’ensemble du système éducatif ou à des problématiques d’attractivité locale.
Les politiques de ressources humaines doivent répondre à des défis de disponibilité, de réactivité au service des établissements – et la formation, à travers notamment les instituts régionaux de formation, en est un volet primordial.
Sur le volet éducatif et pédagogique, nous voulons également mettre en avant les besoins exprimés par les associations de parents d’élèves en cette nouvelle rentrée, notamment sur :

  • La politique de langues (notamment concernant les langues locales) ;
  • La mise en place du bac français international (avec un besoin d’explicitation supplémentaire) ;
  • L’orientation (avec une approche internationale ne se bornant pas à la nécessaire promotion de l’enseignement supérieur en France, et une vigilance particulière sur l’accessibilité de certaines filières pour les élèves du réseau).

Sur l’équation économique, les inquiétudes des associations des parents d’élèves sont fortes.
Dans un contexte de crise sanitaire suivie d’une conjoncture économique inflationniste, les alertes sur la soutenabilité des frais de scolarité sont réelles.

Parallèlement, certains établissements peinent à dégager les moyens nécessaires à leur fonctionnement et à leurs investissements. Sur les projets immobiliers notamment, les problématiques de montage financier et de capacités sont bloquantes dans plusieurs établissements.
Par ailleurs, les sources de financement complémentaires, comme par exemple le mécénat, sont relativement peu développées.
Dans ce contexte, nous devons progresser pour une meilleure gestion des établissements, saine, professionnelle et transparente, et ne pas considérer les frais de scolarité comme la variable d’ajustement. Certains établissements ont su modérer l’évolution des frais de scolarité tout en améliorant la qualité des offres et des services - que le réseau dans son ensemble s’en inspire. La hausse des écolages devrait d’ailleurs être davantage mise en regard de l’accroissement de la qualité.
Equation économique toujours, en matière d’équité, nous constatons actuellement de fortes disparités entre les établissements, donc entre les élèves et entre les parents, en termes de contribution au financement global du réseau. A titre d’exemple, le projet de contribution unique, visant à revoir les flux financiers entre les établissements et l’AEFE, reste aujourd’hui trop peu défini pour savoir s’il sera un outil d’harmonisation pour plus d’équité.
Notons également, pour conclure sur l’équation économique, que le financement des nouveaux postes de détachés reste à préciser.

Concernant la gouvernance, et donc la place des associations de parents, nous avons généralement pu constater ces dernières années une volonté accrue d’impliquer les parents dans un dialogue continu et soutenu au sein des établissements. Toutefois, la représentation des parents n’est toujours pas à la mesure de leur rôle, tant au sein des instances locales que globales. Nous militons pour une association plus forte aux prises de décision, dans un esprit constructif et non partisan.
Dans certains établissements, nous voyons que les associations de parents d’élèves peinent encore à établir un mode d’échange satisfaisant avec la direction. Pour les établissements à gestion parentale, nous demandons une refonte des modes de gouvernance, et notamment un nouveau format de convention, plus conforme aux exigences d’une gouvernance saine et partagée.
Pour l’ensemble des établissements du réseau, nous attirons également votre attention sur la nécessité de mieux prendre en compte les spécificités locales, au regard des formes juridiques des établissements et du droit social local. Il est parfois encore trop difficile pour les associations de parents d’élèves de réconcilier normes françaises et locales.

Les équilibres éducatifs, économiques et de gouvernance constituent des paramètres essentiels pour accroître l’attractivité de notre réseau.
En effet, les établissements font face à une concurrence hybride (écoles anglophones, écoles locales ou de pays tiers, autres écoles francophones). Cette concurrence nécessite à la fois davantage de coordination entre les établissements historiques et nouvellement créés, mais aussi une démarche de promotion plus appuyée. Nous savons que la concurrence est parfois composée d’établissements affichant un projet pédagogique ambitieux, des installations alléchantes et une gouvernance efficace.
Dans ce contexte, si nous voulons toujours pouvoir considérer notre réseau comme un fleuron de notre influence dans le monde, il est urgent d’œuvrer pour davantage mettre en avant notre ADN, nos atouts, rendre nos convictions plus visibles, nos fonctionnements plus lisibles, et démontrer une volonté d’amélioration permanente.
Seule une telle démarche stratégique, devant embarquer notamment les associations de parents d’élèves, permettra d’assurer, certes, la croissance, mais aussi d’envisager un progrès qualitatif, pérenne et rassembleur.

Je vous remercie.
Pour la FAPEE,
Hugo Catherine, Président

24 septembre 2022

Bilan de rentrée dans le réseau AEFE

Cette rentrée s’est passée dans de bonnes conditions, après deux années difficiles de pandémie, avec l’ensemble des établissements qui ont démarré l’année en présentiel.
Le réseau croît avec 566 établissements, enregistre une hausse de 10 000 élèves, toutes les zones connaissent une croissance à l’exception de l’Europe impactée par le conflit en Ukraine. Les zones Afrique, Maghreb et Moyen-Orient sont des moteurs de croissance et ont quasiment rattrapé le niveau d’avant Covid. L’Asie et l’Amérique connaissent une croissance plus faible.

Au niveau du recrutement, en raison de la situation compliquée par la réécriture en urgence du décret n° 2022-896 du 16 juin 2022 portant sur les modalités de recrutement, de rémunération et de gestion des personnels des établissements d’enseignement français à l’étranger, 416 postes de détachés n’ont pu être pourvus et les établissement ont dû recourir massivement et avec d’énormes difficultés au recrutement de personnels de droit local. La FAPEE a demandé dès le printemps à l’AEFE qu’il se fasse à coût zéro pour les établissements.

Situations particulières
Ukraine
L’établissement a rouvert en présentiel et compte environ 60 élèves (parmi eux des élèves de l’école d’Odessa qui reste fermée à cette rentrée). Des travaux ont été effectués pour permettre l’accueil et la sécurité des élèves sur le site. L’AEFE a voulu marquer, avec cette réouverture de l’établissement, son plein soutien aux familles encore présentes à Kiev.
Russie
Tous les personnels de l’AEFE volontaires ont pu regagner le pays et reprendre le travail en présentiel au sein de l’établissement de Moscou avec un effectif de 700 élèves, essentiellement russes.
L’établissement de Saint-Pétersbourg est lui aussi rentré en présentiel. L’établissement compte environ 70 élèves, à peine moins qu’avant le conflit (80 à 90 élèves accueillis).
Haïti
La décision a été prise au plus haut niveau du MEAE de conserver l’établissement fermé et d’assurer l’enseignement en distanciel. Selon le Quai d’Orsay, les conditions sécuritaires sont encore loin d’être réunies pour autoriser une ouverture en présentiel. L’AEFE est inquiète pour cet établissement qui a perdu un nombre considérable d’élèves, passant de 700 élèves à 170.
Mali
Compte tenu des relations bilatérales compliquées entre les deux pays, une attention particulière avait été portée à l’établissement de Bamako. Après étude de la situation, les personnels ont été autorisés à reprendre les cours en présentiel, la situation semblant stable, du moins pour l’établissement. Les effectifs y sont en croissance.
Chine
Les établissements ont repris en présentiel. Ils ont retrouvé un fonctionnement normal mais la situation reste très compliquée notamment sur les conditions de circulation, d’entrée et sortie du territoire voire même de la ville.
On note une légère hausse des effectifs à Pékin. C’est plus difficile pour les établissements de Hong Kong et Shanghaï. La situation en Chine a, par voie de conséquence, permis la croissance d’autres établissements de la zone, comme Singapour et Bangkok qui enregistrent une hausse de leurs effectifs.

23 septembre 2022

Enseignements de spécialités : épreuves en mars

Enseignements de spécialités : épreuves en mars

Le ministère de l’éducation nationale a annoncé, jeudi 22 septembre, que les deux épreuves de spécialité (EDS) du baccalauréat auraient lieu les 20, 21 et 22 mars 2023. Le calendrier de ces épreuves, comptant pour 32 % de la note finale de l’examen, était très attendu depuis la rentrée.

Annulées en 2020 et repoussées en 2021 en raison de la pandémie de Covid-19, ces épreuves, véritable pilier de la réforme Blanquer, auront lieu pour la première fois selon le calendrier initialement prévu, qui doit permettre à ces notes d’être renseignées dans le dossier Parcoursup.
Le Monde 22 septembre 2022

12 septembre 2022

Conforter le bien vivre ensemble

Conforter le bien vivre ensemble
12 septembre 2022

L’activité physique, un élément du bien-être à l’école

L'activité physique, un élément du bien-être à l'école
5 septembre 2022

NABOOK La plateforme 100% jeunesse qui convertit le temps d’écran en lecture !

NABOOK La plateforme 100% jeunesse qui convertit le temps d'écran en lecture !
29 août 2022

Bonne rentrée !

Bonne rentrée !

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